« C’était quand la dernière fois que t’as fait un truc pour la première fois ? »
Cette petite interrogation, je l’ai déjà posée à plusieurs personnalités, lors d’interviews cinéma. Mais jamais je ne m’étais retournée la question.
Et puis, il y a quelques semaines, l’absence évidente de récentes premières fois dans ma vie a commencé à m’embrumer le cerveau.
L’évidence frappait : je manquais d’objectifs. Ma vie était dépeuplée de ces petites choses qui font picoter le bas ventre.
J’étais trop à l’aise dans mon quotidien, j’avais besoin de défi.
Alors, au lieu de plonger la tête la première dans les abysses de l’ennui morbide, j’ai décidé d’écouter ce bon Fabrice Florent, qui s’avère souvent être de bons conseils.
Un nouveau format naîtrait alors : le react à chaud des sorties de salles.
Une idée sympa, qui me permettrait de tester mes capacités à l’oral et face à une caméra, et de sortir de l’écriture. Après un premier test, je suis… conquise.
De nouveau, je sors de ma zone de confort. Et il était temps !
Quel est le concept de ces nouvelles chroniques ?
Le concept est très simple : je vais voir un film, et en sortant, je me pose près du cinéma pour enregistrer une chronique.
De manière IMMÉDIATE !
Ça peut être sur une poubelle, dans une poubelle, dans un parc, dans une cour, ou dans ton cul.
Bref, il faut que je trouve un lieu le plus vite possible pour te débriefer l’œuvre à chaud.
Pourquoi, tu te demandes peut-être l’œil curieux ? Tout simplement pour pondre quelque chose de spontané, qui n’aura pas été préparé au préalable et sera foncièrement HONNÊTE.
Du coup, pas de phrases alambiquées, pas de plan à tiroirs, juste de la sensation, de l’émotion brute.
L’objectif est bien sûr de te communiquer ma passion, et de te donner envie d’aller voir un film.
Quoi d’autre ?
Après t’avoir présenté en plusieurs points ses forces, je te donnerai des petits fun facts sur ledit film pour que tu puisses bien te la péter en soirée.
« Ouais, tu savais que Jean-Claude avait perdu 26 kilos de poils pour ce tournage ? »
Je te donnerai plein de choses à te mettre sous la dent en peu de temps, pour ne pas que tu t’emmerdes à outrance.
Et puis viendra l’heure des conseils.
Pour que tu puisses rester dans l’univers du film, je t’en propose 3 autres que tu pourras binger le soir en rentrant chez toi.
C’est pour moi, c’est cadeau.
Après cette courte vidéo, tu sauras donc tout plein de choses, sans même avoir mis un pied au cinéma.
D’où le futur titre de cette série de vidéos : Cinéflûtisme. En gros, ce sont des chroniques pour tous ceux qui veulent faire comme s’ils étaient cinéphiles mais qui en fait jouent de la flûte.
Et ça, on adoooooore le faire, ne mentons pas !
Hérédité, la chronique de la semaine
Tu le sais peut-être si tu lis souvent cette rubrique : je suis amatrice de films d’horreur.
Je vois tout ce qui sort. TOUT. Même les courts-métrages réalisés par des ados qui disposent de 4€ de budget.
Mais quand les attentes sont élevées, les déceptions le sont aussi. Parfois pourtant, certaines de mes expectatives sont dépassées, et alors là, c’est la joie à tous les étages…
C’est précisément ce qui s’est passé aujourd’hui : j’ai eu un coup de cœur !
Je t’encourage donc dès maintenant à découvrir ma chronique sur Hérédité, d’Ari Aster.
Voilà Jean-Claude, voilà Jacqueline, j’espère que cette idée te plaît et que tu auras envie de regarder les futurs épisodes.
Celui d’aujourd’hui est un pilote — c’est à dire qu’on teste le format.
Il n’est donc pas figé, et tu peux participer à son amélioration en laissant tes commentaires sur YouTube.
N’hésite pas à me dire si tu as trouvé ça sympa, ça fera très chaud à mon petit cœur. Parce que j’ai fait pour la première fois quelque chose, et ça faisait un moment que je ne l’avais pas fait :).
À lire aussi : Trois films pour dédramatiser le bac !
Les Commentaires
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Un lien aurait été bienvenu, non? ;-)