On en est là. Hello Kitty, la célèbre peluche kawaii de la marque japonaise Sanrio a tellement multiplié les produits dérivés qu’elle est parvenue à se hisser au rang de véritable icône de mode.
Si elle a d’abord su se faufiler à travers tous les produits cheap made in China comme les tailles-crayons ou les corn-flakes, son effigie s’associe aussi désormais à des produits de luxe tels que la marque Victoria Couture ou encore les bijoux Swarovski.
Alors pas étonnant qu’elle ait sa couv’ (même deux !) sur le numéro de décembre du ELLE Taïwan ? Pas surprenant, non, dans la mesure où c’est un magazine taïwanais justement. Le pays qui abrite un hôpital Hello Kitty, un avion Hello Kitty et même une chaîne de TV Hello Kitty ne pouvait que dédier une couverture à la peluche.
Là où, en revanche, ça devient un peu plus flippant, c’est que ce soit un magazine de l’envergure de ELLE qui s’en charge.
Hello Kitty me fait peur
Hello Kitty m’agace tout en me faisant flipper, je l’avoue. Dans la mesure où le chaton était auparavant uniquement destiné à des petites filles, je ne voyais pas le problème. Mais depuis qu’il tente de séduire leurs grandes soeurs, voire leurs mères, je bloque.
En témoignent ces couvertures du ELLE taïwanais, qui vise bien un public de femmes adultes. La personnification de la chatounnette version XXL, ici, me dérange.
Et vous, êtes-vous des fans absolues d’Hello Kitty ou tout ses produits dérivés vous laissent de marbre, comme ces couvertures ?
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Les Commentaires
C'est comme pour Diddl, Pucca et compagnie. Ils n'ont été crées que dans un but commercial.
J'aime bien Hello Kitty. Pas jusqu'à acheter tous les produits dérivés, mais je comprend qu'on le fasse. Mais je trouve les deux couvertures assez flippantes, oui. On dirait une personne déguisée. On reconnait la tête d'Hello Kitty, mais ce corps,...Et puis c'est ridicule d'en faire une icône de mode. Bientôt on la verra porter des marques. ça me fait penser à Fifi lapin (que j'adore), à la différence que Fifi a toujours été liée à la mode.