Des Ronflex accompagnés du qualificatif de « grande dormeuse » dans une matière toute douce, une découpe légèrement échancrée et des bandes sur les côtés : cette culotte est à mon avis le mix parfait entre le sexy et le (ré-)confort. Et c’est exactement pour cette raison que j’en ai fait l’acquisition tout récemment !
Une semaine après que mon copain est reparti de l’autre côté de l’Atlantique pour poursuivre son rêve, je m’apprêtais à passer une soirée à me morfondre sur mon sort d’amoureuse esseulée (laissez-moi faire dans le pathos, c’est ma culotte, c’est mon histoire).
Alors que j’errais dans les rues en rentrant chez moi, mes yeux se sont vaguement posés sur la vitrine d’une boutique Undiz. Ma première réaction a été de me dire que de toutes façons, même en m’achetant de jolies culottes, elles ne seraient pas vraiment utiles avant plusieurs mois… alors à quoi bon ? (J’ai dit : c’est mon histoire.)
Et puis soudain, j’ai aperçu par derrière la vitrine cette parcelle de rayon, de laquelle émanait ce doux parfum de régression et d’enfance. Ça a attisé ma curiosité et ni une, ni deux : je me suis retrouvée en face de cette culotte grise mignonne, arborant fièrement son Pokémon dodu.
La mignonnitude
Elle avait l’air si réconfortante, m’invitant à me blottir sous une couette avec un très bon film sous les yeux, comme, au hasard, l’Arnacœur (oui c’est celui que je regarde quand j’ai besoin d’un film feel-good, NE ME JUGEZ PAS).
Et en même temps, elle avait ce côté pas-tout-à-fait-sage, avec ses bandes noires sur le côté — juste ce qu’il fallait d’espièglerie pour que je puisse me trouver jolie et désirable dedans et que j’ose envoyer des photos pour pimper ces premières semaines à distance.
L’objet du délit
En somme, c’était exactement ce dont j’avais besoin pour rebooster mon moral à ce moment là, à mi-chemin entre la madeleine de Proust pop-culture et la nécessité de revaloriser ce booty qui perdait de sa valeur avec la perspective des longs mois d’attente.
Et bien laissez-moi vous dire qu’elle a parfaitement fait le job et qu’elle trône fièrement dans mon coeur sur le podium de mes culottes préférées de tous les temps – entre ma première culotte à dentelle sexy et celle que j’ai pu accorder à un soutien-gorge pour la première fois.
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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