H&M Printemps Eté 2010

Pour résister à l’hiver, certains partent en week-end à Marrakech, d’autres s’offrent quelques U.V. ou tricotent des bikinis en crochet devant la télé, mais nous chez madmoiZelle, on te propose mieux encore ! Plonger dans la collection Printemps Été de H&M en plein mois de janvier, c’est gratuit, c’est utile et ça rapproche toujours un peu du soleil de juillet.

Cette saison H&M suit la tendance en adaptant les must de l’hiver aux températures estivales. Les blazers sont ceinturés, les pantalons boyfriend deviennent des shorts, les tuniques se transforment en robes t-shirt, etc. Les épaules sont ornées et paddées, les robes de jour sont à volants, celles du soir sont drapées et le tout baigne dans des incrustations (perles, métal) et tapis de fleurs. Côté must-have on trouvera en plus des nombreuses robes (bustier, t-shirt, caftan,…), des variations autours du trench, pas mal de vestes, des sarouels, du jean comme il faut (boyfriend, slim clair, perfecto, short) et des salopettes.

De la collection on peut dégager 3 principaux thèmes :

– Jardin romantique : des tissus imprimés aux brides des chaussures, des millions de fleurs se posent sur nous.

– Grand voyageur : un mix d’inspirations ethniques à porter avec du jean ou des vêtements « pratiques ».

– Preppy : pièces classiques du style américain, chic et casual à la fois avec par exemples des petites robes bustier.

Retenons en particulier la collection « Garden » qui donne un ton gai, romantique et over fleuri au printemps.

Pas sûr que le moment venu, les motifs all over arrivent à me convaincre en magasin, mais vu d’ici (janvier, ciel gris, pull gris, teint gris), ça donne envie. A contrario, les accessoires (beaucoup de colliers ethniques et gros bracelets en plastique) me laissent dubitative. En bref, il me semble que cet aperçu de la saison H&M est plus réjouissant sur le fond (l’été, les couleurs, les fleurs, la plage…) que sur la forme – à l’image par exemple des maillots de bain. Conclusion, après les soldes, j’y passe, tôt ou tard, dans l’espoir souvent satisfait, d’y dégotter basiques pas chers et perles perdues.