Le chapeau de pluie

Avec la pluie, que dis-je, les inondations de ces derniers temps (personellement, j’ai encore une culotte qui sèche sur le radiateur), heureuses toutes celles qui possédaient des bottes de pluie, s’étant peut-être laissées convaincre par mon fabuleux article sur le sujet. Néanmoins, les pieds au sec, la tête ne s’en trouvait pas plus couverte, surtout avec ce vent à décorner les bœufs… Résultat : un parapluie bon pour la casse, des troupeaux de bovidés qui s’envolent et une nouvelle coupe pour tes cheveux – genre Tina Turner après un lavage auto. La solution ? Le chapeau de pluie of course* ! Comment ça on dirait un de ces sacs plastique que les mémés enfilent pour protéger leur permanentes aux reflets violacés ?! Certes, c’est ressemblant, mais quand c’est vendu chez Colette et que ça répond au doux nom d’ « Audrey » on peut se poser la question : portable ou pas portable ? Et si mamie avait raison : « Grâce au chapeau de pluie, je garde les mains libres : l’une pour tirer mon caddie, l’autre pour contenir les ardeurs de Fripouille (le caniche qui sent la dépouille) ». Alors le chapeau de pluie futur must-have ou accessoire interdit (avec dérogation spéciale pour les plus de 60 ans, évidemment, on n’est pas des sadiques) ?

Chapeau de pluie modèle « Audrey », Maison Michel, vendu chez Colette

* : On aurait aussi pu accepter deux autres solutions, à savoir la combinaison intégrale avec capuche ou tout simplement la coupe Fabichou mais dans un cas comme dans l’autre ce n’était pas assez glam’.

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