La ville, c’est sympa mais objectivement à la longue, ça use. Marre du stress, des embouteillages, de la pollution et plus grave encore : des talons aiguilles qui se coincent dans les grilles de métro… Remédions à ce drame en provoquant un exode urbain et renouons avec la campagne en chantant toutes en coeur (dans nos grandes maisons avec jardin au prix d’un F2 parisien) des chansons de Didier Barbelivien. C’est parti, 3, 4 :
On est parti les chiens devant et les chevaux derrière
A la poursuite d’un cerf-volant d’une kermesse populaire
Comme disent tous les moulins à vent faut faire mais pas s’en faire
Les trains arrivent toujours à temps Monsieur le garde-barrière
A l’auberge du Panier Fleuri déjeuner de soleil
Un verre de rosé, des radis, la chanson des abeilles
Y a des moutons dans la prairie des nuages dans le ciel
On roule depuis deux heures et demi à l’allure coccinelle
Quitter l’autoroute,
Pour voir les maisons, les saisons, les moissons
Des villages de Frannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnce
Quitter l’autoroute,
Pour voir les ruisseaux, les oiseaux, les châteaux
Des années d’enfannnnnnnnnnnnnnnnnce !
To be continued…
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