Avant tout commentaire, petite précision : je ne fais point partie de la famille Pinder ou Gruss. Toute ressemblance avec un membre de ces familles est totalement involontaire. Quoiqu’en voyant ça … y a des questions à se poser. Analyse d‘un look à part.
1 – La chemise large
No comment, c’est pas ma faute, j’la détestais. Déjà, d’apparence, c’est pas terrible : le truc tout blanc (insalissable, bien sûr !), bien large, bien long, qu’on est obligé de rentrer dans la jupette et qui vous fait une bedaine pas possible une fois qu’on a réussi à tout mettre dedans.
Sans compter le problème de l’enfilage, : d’abord le combat avec les tous petits boutons qu’il ne faut pas décaler, puis avec les boutons des manches et pour finir le duel avec le col X-tra long… Le pire, c’est que ça n’était plus tant à la mode. Merci maman. A noter, l’accessoire made by me : le collier en pâte à sel et ficelle, top tendance !
2 – La jupette
A mon époque, contrairement à la chemise, la jupette en jean était assez présente dans les cours de récré. Sauf que la mienne, ben elle était bof. Ourlée et au-dessus du genou, SVP (parcequ’Hélène d’Hélène et les garçons avait la même) et portée avec de magnifiques collants pas du tout voyants. Enfin, petit détail, on n’oubliera pas de la porter remontée.
3 – Les rollers multicolores
Voilà le meilleur : les rollers multicolores. Eux et moi, nous ne faisions qu’un. Impossible de me les faire retirer, je les portais avec tout, tout le temps, sauf bien sûr quand j’allais à l’école. Ah… Mes beaux rollers vert criard avec leurs languettes violettes et leurs beaux lacets orange fluo. Et les roulettes multicolores … Enfin bref, ils sont la touche finale d’un look recherché et cohérent : Jupe et rollers (même pas peur !) chemise blanche et collant criard. A noter, l’air petite fille sage et le petit doigt en l’air, style chochotte.
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