« En avril, ne te découvre pas d’un fil », diraient nos grands-mères. Mais comme il n’y a plus vraiment de saison, à cause du réchauffement climatique et des lois loin d’être à la hauteur de l’urgence environnementale, on ne sait plus où donner de la tête. Ni du style !
Alors on opte pour la superposition (ou « layering », comme diraient certaines modeuses) de couches plutôt fluides, afin de pouvoir les empiler sans finir complètement engoncé tel un oignon fripé.
Les superpositions pour survivre aux yoyos de la météo
Si l’hiver cette stratégie permet de rester bien au chaud, le printemps s’y prête aussi, puisqu’on n’est jamais à l’abri de démarrer la journée par 5°C mais de la finir sous le soleil exactement.
Alors vive les blouses romantiques, qu’on peut réchauffer d’un pull duveteux avant de glisser l’ensemble sous un blazer fluide et dans une jupe plissée, par exemple. Ce sera facile de retirer une ou deux couches au fil de la journée si besoin, comme le temps d’un pique-nique — dans le respect des gestes barrières et de la distanciation sociale, pandémie oblige — au moment où le soleil sera à son zénith (et qu’on aura bien évidemment pensé à mettre une protection solaire adéquate).
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Et vous, c’est quoi vos stratégies pour parer à tous les caprices de la météo, surtout en période de mi-saison ?
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