Je suis une comédie musicale, le court-métrage qui agit comme un rail de bonheur (ou presque) !

Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.

Chaque plan de La la land, chaque note de West Side Story, chaque bruit de claquette de Singing in The Rain emplit mon coeur de joie !

Alors je ne pouvais que cliquer sur un court-métrage intitulé Je suis une comédie musicale.

Au début effrayée par une éventuelle déception, j’ai finalement été agréablement surprise.

Car cette vidéo de 2 minutes 20 manie le rythme avec habileté et fait preuve d’une bonne dose d’inventivité.

Je suis une comédie musicale, un shot de bonne humeur

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

Réalisé par Aurélien Rapatel, un jeune étudiant en 3ème année de licence cinéma à l’Université Paris Diderot dont ce film signe la seconde participation au concours, Je suis une comédie musicale se distingue par son originalité.

L’apprenti cinéaste propose en effet une vidéo tout en chanson et en chorégraphies, avec l’aide de son acolyte Juliette Tresanini.

Son nom vous dit quelque chose ?

Rien de plus normal, Juliette s’illustre au cinéma et sur Youtube depuis quelques temps déjà, notamment sur la chaine Parlons peu, mais parlons, qui compte quelques 492 187 abonnés.

Dans ce court-métrage Nikon, la comédienne interprète une professeure qui subitement ne parle plus qu’en chantant. Et c’est contagieux, car tous ses élèves s’y mettent !

Et of course, vous aurez droit à un twist final à la Black Mirror (j’exagère à peine…) !

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