Le bodypainting, outil surprenant pour niquer ses complexes

Et si tu sortais dans la rue sans fringues ? Pas de clefs ou de sac, tu te prendrais juste toi et ton corps, recouvert de bodypaint.

C’est ce que propose l’artiste Pashur à une jeune Américaine, le temps d’une journée, sur la chaîne YouTube BuzzFeedYellow.

À lire aussi : J’ai testé pour vous… le body painting

La jeune femme s’appelle Julie Nolan et est toute mignonne. Elle raconte que l’image qu’elle a de son propre corps a toujours été positive, jusqu’à la fin de ses années de lycée : à cette époque, après sa participation à une comédie musicale, des filles lui ont fait remarquer qu’elle avait de la cellulite (comme des tas de personnes, moi incluse).

À cette période et même après, toi-même tu sais, les regards et les critiques sont durs à encaisser

, et il est encore plus ardu de laisser couler.

La jeune Américaine relève donc ce défi : troquer ses vêtements contre leurs répliques en peinture. Tu l’auras compris, le but de l’exercice n’est pas d’aller chez les gens en mode « Hé t’as vu j’suis à oilpé » mais bien d’être tel•le qu’on est, sans armure, pour se confronter aux regards (parfois bluffés) des autres et se rendre compte que ce sur quoi on fait une fixette n’est même pas relevé par les gens… ‘foiré de complexe !

Cette expérience m’enjaille et j’aurais aimé la voir plus tôt, pour m’en souvenir à chaque petite critique qu’on m’a lancée « l’air de rien ». Donc à toi qui va bientôt reprendre les cours, garde-la sous le coude : les rageux•ses resteront toujours les mêmes, de la petite section à la retraite. Autant s’en foutre.