Sarkozy est gangsta : 10 points qui le prouvent, selon le magazine Complex

Je respecte Complex depuis qu’ils ont été les premiers à trouver l’endroit où se cachait Earl Sweatshirt, le grand disparu de la circulation de OFWGKTA. En tout cas, ils doivent avoir un truc avec les révélations choc, parce que un de leurs derniers papiers nous en offre une bien belle : notre président français serait, au fond, un putain de gangsta.

En gros, Nicolas Sarkozy serait digne d’un surnom de type « The notorious N.I.C. » (cette vanne n’est pas de moi mais bien d’eux), parce que :

– Sa femme n’est autre que Carla Bruni. Soit une nana qui est à la fois actrice, chanteuse, mannequin, et qui en plus a déjà fricoté avec Mick Jagger.

– Son fils est un producteur de hip-hop.

Alors là, les mecs de Complex magazine, je vais être obligée de rétorquer un petit truc : Mosey (qui se garde bien de dire qu’en vrai, il s’appelle Pierre Sarkozy, probablement de peur de voir la street-cred qu’il fantasme s’émietter comme un mur en crépis défoncé au karcher) a beau être la petite caution urban de son père, ça ne nous fera pas oublier l’acharnement dont a été victime le groupe La Rumeur.

– Il sait comment rester « frais » et « n’est pas qualifié de bling-bling pour rien » : des vestes bien coupées, des montres plus grosses que son poignet, des lunettes d’aviateur… Hey Complex magazine, vous avez entendu parler de ses talonnettes ?

– Il a déjà été en beef avec MGMT, le groupe que tout le monde aime dans le consensus. Le morceau « Kids » a été passé à un congrès de l’UMP, sans l’autorisation du groupe. Le parti majoritaire a alors tenté de se rattraper en proposant de rémunérer MGMT avec 1 euro symbolique. Ce qui n’a pas été du goût de l’avocat du groupe, qui a finalement perçu une somme « plus adéquate ».

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