Ces chansons cultes… qui sont en réalité des reprises #2 – Bonus Pause Culotte
Hier, je montais sur une grande licorne vaillante et fière pour défendre avec force et courage les artistes dont les chansons sont moins connues que leurs propres reprises. Et voici pour vous, heureu-x-ses abonné-e-s à la Pause Culotte, trois titres en bonus !
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Quand j’avais 16 ans, j’ai acheté un album best-of de Cindy Lauper, attirée par la couverture orange fluo et par l’idée d’en apprendre plus sur l’auteur de Girls Just Wanna Have Fun (chanson sur laquelle j’ai volé un 14 à mon bac de danse). Parmi les pistes figurait I Drove All Night, que j’ai chantée nuit et jour pendant des jours, persuadée d’avoir découvert le Graal, jusqu’à ce que ma mère m’apprenne la terrible vérité : « Elle est même pas d’elle. » (Et True Colors non plus, d’abord.)
En effet, I Drove All Night est une chanson enregistrée par Roy Orbison en 1987, mais rendue célèbre par Cindy Lauper en 1989 et diffusée par l’artiste original seulement en 1992. Une dizaine d’années plus tard, Céline Dion l’a elle aussi interprétée, version techno des années 2000. Je ne dirai rien.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Toute personne ayant vu Donnie Darko ou ayant vécu en dehors d’une cave en 2001 a déjà eu l’occasion de regarder par la fenêtre avec nostalgie en écoutant Mad World de Gary Jules : bon, peut-être pas tout le monde, mais la chanson a été un gros tube, tu vois ce que je veux dire. Mais encore une fois, on nous a menti ! Gary Jules n’a pas écrit cette jolie ballade au piano, originellement une chanson de Tears for Fears à base de synthé 80’s et de percussion qui vient d’un endroit inconnu.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Ah Mariah Carey, cette chère Mariah. Grande prêtresse des chansons d’amour aiguës, elle interprète en 1994 Without You, qui reste encore aujourd’hui un de ses plus grands tubes et un emblème des ballades des années 90. Et pourtant, sur ce coup-là, Mariah n’a rien inventé et a puisé dans le répertoire sans limite des slows des années 70.
Celui-ci est à l’origine un morceau du groupe britannique Badfinger, qui sort Without You en 1970. Un classique qui a aussi été repris par Harry Nilsson en 1971, version 80’s par Hall & Oates ou encore par Kelly Clarkson à l’époque où elle montait sur la scène d’American Idol avec des mèches autoroute.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
Alors là, révélation d’une madmoiZelle sur le forum, le tube de 2000 d’ATC n’est PAS une chanson originale. Around the World (La La La La La) n’est qu’une traduction en anglais de Pesenka (La La La), chanson russe sortie en 1998. Bon, après c’est pas non plus une chanson qu’on écoute tous les jours, ni un monument de la musique, donc voilà quoi.