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Vie quotidienne

Ces histoires loufoques qui nous sont vraiment arrivées

Voici les anecdotes les plus absurdes de l’équipe de madmoiZelle, pour du lol et de la surprise !

Nous avons toutes et tous des anecdotes dingues au point qu’elles soient peu crédibles, et qui pourtant ont vraiment eu lieu.

C’est le propos d’un tweet devenu viral ces derniers jours :

https://twitter.com/mhoye/status/1010355444815101953

Si tu veux voir les réponses des internautes, clique ici !

« Ok Twitter. Il est tard, mais voyons si nous pouvons rendre cela intéressant :

Quelle est l’histoire la moins crédible sur toi qui est vraie ? »

Incroyable mais vrai, la rédac’ relève le défi

D’abord abasourdie par les histoires les plus folles des twittos, je relaie le sujet aux membres de l’équipe de madmoiZelle.

Devant l’enthousiasme général, je décide de récolter les anecdotes des rédactrices, hilare.

Voici leurs meilleures histoires !

D’un voyage culturel à un voyage people pour Élise

J’étais en voyage de classe en 4ème à Venise.

On avait quartier libre et on se promenait avec des potes dans les petites boutiques du coin.

Là, un de mes amis est venu nous chercher en courant en hurlant « Y A SARKOZY DANS UNE LIBRAIRIE !! ».

Et…. C’était vrai.

La bande de copains a insisté pour qu’on prenne une photo de groupe.

L’ai-je affichée ? Non. Mais c’était marrant.

Un couple de SDF débarque chez Juliette en pleine nuit

Je vivais dans un tout petit appartement de 12m².

C’était une petite chambre de bonne au dernier étage de l’immeuble. Le couloir ressemblait à une sorte de corridor de maison de maître et les poignées de portes pouvaient s’actionner depuis l’extérieur.

J’avais deux verrous à disposition dans mon petit nid (pas vraiment) douillet.

Un soir, je rentre des courses un peu tard.

Je suis chargée comme un baudet et exténuée de ma journée. En rentrant, je tente de poser mes courses tant bien que mal, mais dans cet espace exigu je ne peux pas ouvrir la porte toute grande. Je fais tomber mes sacs, et je claque ma porte en hâte pour ramasser tout ce bazar.

La soirée se passe, je bosse un peu pour la fac, je regarde un épisode de Friends puis je vais me coucher.

Dans la nuit, je me réveille.

J’ouvre les yeux un peu, mon cerveau est dans un total entre-deux. Je ne sais pas trop si je suis encore dans un rêve ou éveillée.

Mais ma porte est grande ouverte, la lumière du palier m’éblouit et surtout je vois deux personnes avec des sacs sur le dos dans mon appart’.

Mais mon appart’ est tellement riquiqui qu’ils sont, en fait, à un mètre et demi de mon lit, donc de moi.

Étrangement je ne panique pas. Je sens une forte odeur d’alcool, j’entends un homme marmonner plus que parler et une femme très nerveuse lui crier dessus en chuchotant.

Je leur demande :

« Qu’est-ce que vous faites là ? »

La femme me répond : « Rien du tout, on s’est trompés de porte. » Puis s’adressant à l’homme : « Tu vois bien qu’il y a quelqu’un, viens, on s’en va. »

L’homme s’approche un peu de moi et me dit : « La prochaine fois fermez bien votre porte mademoiselle, c’est important, après, n’importe qui peut rentrer. »

Moi, je ne dis toujours rien, c’est limite si je ne réponds pas « Bonne soirée ».

Ils s’en vont et je les entends faire du remue-ménage dans le couloir.

Là, je me rends compte de ce qu’il se passe, alors effrayée, je me jette sur ma porte et vois que rien n’est verrouillé.

Telle une bolosse, j’ai oublié de fermer les verrous de ma porte en rentrant des courses. Je verrouille tout, le plus silencieusement possible et je mets mon oreille à la porte.

J’entends qu’ils sont rentrés chez mon vieux voisin qui ne ferme jamais son appartement et il se met aussitôt à leur hurler dessus.

Je commence à flipper sérieusement en me disant que ça pourrait mal finir, j’hésite à appeler la police, mais je pense que ces personnes sont un duo de sans domiciles fixes et j’aimerais leur éviter d’avoir affaire aux forces de l’ordre.

Finalement ma merveilleuse voisine, Carmen, danseuse de Cabaret franco-espagnole à la retraite, sort de chez elle et calme tout le monde, renvoie mon vieux voisin chez lui et demande aux deux intrus de s’en aller.

« Je suis vraiment désolée, dit-elle, mais vous ne pouvez pas rester ici et rentrer chez les gens. Vous voulez l’adresse d’un foyer ? »

Les deux SDF refusent, expliquant qu’ils préfèrent éviter les foyers. Ils se sont excusés et sont partis.

Moi, je me suis fait remonter les bretelles par Carmen sur le palier et elle m’a rappelé de fermer la porte à chaque fois que je l’ai croisée dans le couloir.

Laïla, lead développeuse et stalkeuse malgré elle

J’ai pris l’avion avec Anne Roumanoff pour aller au Canada.

Elle était sur la rangée face à moi, j’arrêtais pas de la regarder car je savais que c’était une humoriste française, mais je ne me souvenais plus de son nom.

Du coup, il y avait des regards gênés pendant le vol, jusqu’à ce que je récupère ma valise (une énorme valise orange)(c’est important).

Je l’ai recroisé le lendemain matin, elle habitait à côté de chez mon pote.

On a ré-échangé des regards, et j’étais assez sûre qu’elle m’a reconnue de la veille à cause de la fameuse grosse valise orange (je t’avais dit que c’était important).

J’espère qu’elle ne m’a pas prise pour une stalkeuse !

Anaïs et son double du futur partent en vacances au même endroit

Une fille du même nom et prénom que moi avait réservé une chambre dans le même hôtel en Angleterre à Shefield, pour le même soir.

Je précise que mon nom de famille n’est pas vraiment commun.

Je t’explique : en 2016, je suis partie en voyage en Angleterre et j’ai passé une nuit à Shefield avec une amie Paraguayenne.

On avait booké une chambre d’hôtel. Arrivées sur place, on paye la chambre et on s’installe.

Mais 5 minutes plus tard, le responsable de l’hôtel revient pour nous dire qu’il y a une erreur : il nous avait placé dans la mauvaise chambre.

Il m’explique que c’est une autre Anaïs qui l’a reservée, du même nom de famille que moi.

Les mêmes personnes.

J’ai insisté pour savoir si ce n’était pas une erreur informatique, mais les coordonnées (carte bancaire, adresse postale, numéro de téléphone …) de l’autre Anaïs étaient différentes des miennes.

Dans ma tête j’avais l’impression que c’était un signe du destin ou que mon double du futur avait remonté le temps et voulait me rencontrer.

Bref, il s’avère que cette Anaïs n’est jamais venue ce soir-là.

Mymy retrouve ses potes après plus de 2 ans et à 600km, par hasard

Quand je suis arrivée à Paris, comme beaucoup de jeunes adultes, je ne connaissais pas grand-monde à part mes collègues. Ma vie sociale était pas mal réduite à mon boulot et je ne suis pas la seule dans ce cas.

J’organisais une soirée pour l’anniversaire d’un collègue, et un mec qui travaillait ponctuellement avec nous m’a demandé s’il pouvait amener son coloc, fraîchement arrivé à Paris et un peu seul au monde.

J’ai dit : « ok, tant qu’il est cool et que tu promets qu’il se comporte bien, pas de souci ! »

La soirée bat son plein, le mec arrive, m’explique que son coloc a un truc à finir avant de venir. Quelques temps plus tard, ça sonne…

J’ouvre et je me retrouve nez-à-nez avec un pote de fac que je n’ai pas vu depuis des années. Je ne pige rien à ce qu’il se passe, je lui demande ce qu’il fait là.

« Euh, bah, je suis le coloc de Mathias en fait, il m’a dit que je pouvais venir ? »

À 600km de distance, 24 mois après que j’ai obtenu mon diplôme, mon pote était devenu le coloc de ce mec avec qui j’ai bossé deux fois et qui n’a pas du tout la même vie que moi !

C’était une belle occasion de se retrouver par hasard, et des années plus tard, on continue à aller manger des nouilles tous les trois, copains comme cochons !

Se baigner à poil dans la forêt, normal pour Queen Camille

Je faisais du Wwoofing dans le sud de la France et c’est la raison pour laquelle j’ai débarqué chez Jean-Daniel, un homme d’un certain âge, dans la campagne aixoise, accompagnée de deux amis.

Deux minutes chrono après notre arrivée, ce bon JD demande : « Vous voulez prendre un bain ? ».

Je me dis qu’il nous invite à nous rafraîchir après le voyage, en utilisant sa salle de bain, même si proposer une douche à quelqu’un juste après lui avoir dit « Bonjour » pour la première fois me laisse perplexe.

En réalité, ce que notre hôte nous offre, c’est de profiter de ses baignoires extérieures, sa passion.

« Vous pouvez vous mettre en maillot de bain ou pas », précise-t-il.

À poooooooil !

On n’a pas de maillots de bain, mais on ne veut pas paraître impolis (on est arrivés littéralement 2 minutes plus tôt) et la proposition nous amuse.

Pendant qu’il nous guide à travers la forêt jusqu’à son spot de baignade, je me demande s’il compte se joindre à nous et si je vais devoir être à poil devant lui et inversement.

Je n’ose pas poser la question mais j’essaie d’apprendre à mieux connaître notre hôte qui semble plutôt perché.

Quand je lui demande d’où il vient, il me répond « De la lune ». Parfait.

Dans une clairière entourée de grands arbres, nous découvrons dix baignoires disposées en cercle. Jean-Daniel commence à en remplir une grâce à un tuyau d’arrosage relié à un système de pompe et de panneaux solaires de sa confection.

En commençant à en remplir une deuxième, il nous annonce qu’il n’y aura pas assez d’eau chaude pour qu’il se joigne à nous dans une quatrième baignoire. Quel dommage.

30 minutes après notre arrivée à Aix, nous étions donc en train de prendre un bain à poil dehors, en espérant que JD ne soit pas caché dans un buisson.

Mes passe-temps loufoques qui me créent des ennemi·es malgré moi

Vient mon tour de te raconter une de mes histoires, et je t’avoue que j’ai mis un sacré bout de temps à en trouver.

Une des choses face à laquelle les gens sont le plus étonnés, c’est quand j’explique que j’ai sauté 3 classes, et que je suis donc rentrée à l’université à 15 ans. Mais je raconte ça assez facilement, et j’ai voulu t’offrir une exclusivité, rien que pour toi.

Quelque chose que je raconte peu parce que je n’en suis pas spécialement fière, que ça a plus tendance à me créer des ennemis, et à coller une belle étiquette de clichés sur moi.

STP, ne me juge pas.

Je l’avoue : quand j’étais au collège, je m’ennuyais ferme pendant les vacances. Quand il n’y avait pas école, je n’avais pas grand-chose à faire.

Pour passer le temps… J’imprimais des sujets de brevet de mathématiques, et je les résolvais. En boucle.

Oui, j’aimais les maths, et je les pratiquais comme un passe-temps. Ça me vidait la tête, ça me faisait beaucoup de bien : c’était très thérapeutique.

Pour te donner une idée, quand mes profs de sciences bloquaient sur un sujet de bac blanc (oui de bac, quand j’étais en quatrième/troisième), ils me le filaient pour que je le résolve le soir, et je le leur ramenais, toute fière, solutions en main, le jour suivant.

Au vu des regards interloqués que je provoque lorsque je parle de ça, j’ai pensé que c’était la chose la moins crédible qu’il y avait à savoir sur moi.

Allez, à ton tour, maintenant : étonne-moi, fais-moi marrer !

Raconte-moi tes anecdotes à toi dans les commentaires. S’il y a des choses folles, si ça se trouve j’en ferai un autre article !

À lire aussi : L’histoire absurde de la grand-mère qui priait le Seigneur… des Anneaux

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Les Commentaires

70
Avatar de skippy01
19 octobre 2018 à 15h10
skippy01
Un problème de circulation a empêché mon train de me filer sous le nez.

J'arrive en trombe à la gare, constate qu'on est 1 minute avant l'heure prévue de mon train. Je me précipite donc vers lui. Trop tard, les portes sont verrouillées et il n'attend plus que l'autorisation pour démarrer. Sauf que le feu de signalisation tarde à changer de couleur et reste désespérément rouge, donc forcément, le signal d'autorisation (en gros, un feu présent sur les quais que le contrôleur active au moment du départ et qui passe du rouge au vert pour autoriser le train à démarrer) le reste aussi. On attend, le train avance de quelques mètres pour se mettre à la hauteur du feu. Le feu ne change toujours pas. Alors que je me dis que j'aurais eu 10 fois le temps, le contrôleur finit par désactiver le feu d'autorisation, me permettant de monter à bord.

Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé, toujours est-il que grâce à cet imprévu, je n'ai pas dû poireauter jusqu'au suivant.
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