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La coloration au Nutella, un délice pour les yeux et les papilles — WTF Beauté

Un salon de coiffure situé à Dubai colore les cheveux de ses clientes à l’aide de Nutella ! Et ce qui est fou, déjà, c’est que ça ne colle pas.

Huda Beauty, bloggueuse et youtubeuse originaire de Dubai relaie régulièrement des vidéos insolites sur l’univers de la beauté.

L’une des dernières en date montre comment le Abed & Samer Salon basé à Dubai colore les cheveux de ses clientes en utilisant… un mélange de Nutella et de lait concentré !

Comme on peut le voir dans la vidéo, Abed (le propriétaire le salon) procède tout d’abord à une décoloration classique à l’aide de papier d’aluminium, et c’est après cette étape qu’intervient le Nutella

.

Il applique un mélange de la célèbre pâte à tartiner et du lait concentré.

Abed déclare dans une interview accordée au journal Metro que le résultat dépend des cheveux :

« Si vous voulez une couleur légèrement caramel, le résultat peut tenir entre 2 et 3 semaines. Mais si vous voulez un résultat plus foncé, et que cela ne vous dérange pas de laisser poser la pâte à tartiner plus longtemps, cela durera plus longtemps. »

D’après son expérience, le Nutella aurait la particularité de rendre les cheveux plus brillants… Bon j’ai envie de dire pourquoi pas, ça ne peut pas être pire qu’une décoloration à l’ammoniaque j’imagine ! L’histoire ne dit pas si ça fonctionne avec une pâte à tartiner faite maison.

À lire aussi : Se teindre les cheveux avec du café, la tendance pas si WTF en provenance des États-Unis


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Les Commentaires

6
Avatar de Saperlipopette_
1 janvier 2017 à 19h01
Saperlipopette_
@Clemence Bodoc Salut ! Désolée de répondre aussi tardivement, j'ai tout simplement oublié de le faire ^^

[ Je préviens d'avance, mon post est long et part dans tous les sens. ]

Tout d'abord, je sais que tu es vegan Ensuite, comme je l'ai dit, je sais bien que l'article dont on parle n'est pas une pub pour Nutella, ni un partenariat. Mais comme je l'ai également expliqué (peut-être pas assez clairement ?), le fait que MadmoiZelle relaye cette vidéo (même en la classant dans le répertoire des infos "WTF" sans souligner le fait que la société qui la produit ne le fait pas de manière éthique - puisque non seulement elle exploite les travailleurs.ses qu'elle emploie, mais en plus elle fait travailler des enfants - me dérange. En parler de manière anodine, c'est là que se situe le problème selon moi.

Je sais que MadmoiZelle n'est pas un magazine militant (ou du moins, il ne me semble pas que vous vous revendiquiez comme tel), mais comme Fab ou toi-même, et même d'autres employé.e.s, l'avez dit à de nombreuses reprises, Mad est une sorte de "porte d'entrée" - sur le féminisme, notamment. Certain.e.s de vos lecteurs.trices sont donc bien plus engagé.e.s que d'autres, que ce soit dans les luttes antiracistes, féministes, écologiques, etc. Comme vous l'avez déjà dit, vous ne pouvez plaire à tou.te.s, mais votre but est justement de rester suffisamment ouvert pour atteindre un public large et diversifié, n'est-ce pas ?
(Je me permets d'écrire ceci car j'ai entendu Fab le dire lors d'une vidéo questions-réponses tournées avec Mymy il y a déjà quelques temps.)
Or, mentionner l'exploitation dont sont victimes les personnes employées par Ferrero n'entrerait-il pas dans cette démarche de construire un magazine qui fasse office de "porte d'entrée" concernant certains sujets ? J'ai conscience que vous n'êtes pas un magazine militant, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il vous faut renoncer à tout esprit critique concernant certains produits ou marques. Nul besoin de rédiger un article condamnant les pratiques de Ferrero - par exemple -, mais il vous aurait suffit d'ajouter un petit post-scriptum à la fin de l'article pour mentionner ces faits ! Ç’aurait pu être utile car je pense que beaucoup de gens l'ignorent encore, dans la mesure où ce genre d'informations est rarement mis à la portée immédiate de tou.te.s.
De plus, tu as toi-même écris divers articles dans lesquels tu procèdes ainsi. Je pense notamment à celui intitulé "Les monstres marins des profondeurs, entre fascination et terreur pure", où tu présentais les photos prises par ce pêcheur russe avant d'expliquer, en fin d'article, que la raison pour laquelle il s'est retrouvé face à face avec ces poissons est qu'il travaille sur un chalutier, à savoir un bateau de pêche qui utilise d'immenses filets pour racler les fonds marins et attraper un maximum de prises, ce qui est à la fois très destructeur pour ces mêmes fonds marins et dangereux pour la biodiversité puisqu'on attrape ainsi nombre d'animaux qu'on tue alors même qu'ils ne seront pas consommés. (Je précise pour celleux qui ne sauraient pas de quoi je parle parce que je n'ai pas réussi à insérer le lien dudit article.)
Un simple message en fin d'article, rien que deux phrases en mode "renseignez-vous, cette société a des pratiques tout sauf éthiques !", serait le bienvenu.

Il ne s'agit pas de hiérarchiser les entreprises et marques ou d'établir un classement entre les "bonnes" et celles qui ne le seraient pas (ta remarque à propos d'Amazon est très pertinente d'ailleurs) !

Contenu spoiler caché.

Mais il est important, je pense, que nous soyons au courant de ce que l'on achète, des conséquences que ça peut avoir, des sociétés que l'on finance, de leurs pratiques, etc. Tu dis que tu refuses, que le magazine refuse d'émettre des injonctions : je suis d'accord !
Il ne s'agit pas d'inciter quiconque à faire quoi que ce soit : chacun.e est libre de ses choix, de mener sa vie comme ielle l'entend, de vivre selon ses propres valeurs et d'adopter le(s) mode(s) de vie qui lui correspondent. Cependant, on devrait disposer d'un maximum d'informations avant de faire ces choix-là. On ne peut pas tout savoir sur tout, mais si et lorsqu'on a des informations à partager, c'est notre devoir de le faire, je pense

Tu parles également de notre mode de consommation. Je suis d'accord avec toi, beauuucoup de choses sont à revoir ! Mais quand bien même on ne peut pas atteindre la "perfection" (ou du moins ce qu'on la considère être personnellement, parce qu'elle est forcément relative), on peut tout de même (essayer de) faire mieux "Boycotter" certaines marques, entreprises, etc. peut être une solution (même si ce n'est pas la seule !).

Concernant les modes de vie et de consommation "alternatifs", il en existe plein ! Tu as choisi d'être végane ; moi d'être végétarienne, de manger bio, d'utiliser des produits d'entretien "écologiques" (notamment pour les produits ménagers, la lessive, le liquide vaisselle). Ça vaut que ça vaut, ce n'est pas absolument non-polluant, mais c'est déjà mieux que rien
J'ai également cessé d'aller faire mes courses dans des supermarchés et achète désormais toute ma nourriture dans des Biocoop (c'est une chaîne de magasins bio, pour celleux qui ne connaissent pas). Et surprise : ça ne me revient pas si cher que ça. Étant étudiante, j'ai un petit budget, donc je comprends très bien l'argument économique. Le bio n'est pas accessible à toutes les bourses, j'en ai conscience. Mais j'arrive à m'en sortir pour 130 - 150 € de nourriture par mois, ce qui représente le même montant que lorsque j'achetais à manger dans des supermarchés "traditionnels". Sauf que je mange mieux, je cuisine tout mes plats moi-même (et en prépare à l'avance pour les moments où je n'ai pas le temps ni l'envie de cuisiner) et j'ai profondément modifié mon régime alimentaire en y intégrant des produits que je ne consommais pas (des lentilles, du boulghour, du tofu, des épices, des potimarrons...) et en en éliminant d'autres (les bâtonnets de crabe, le Nutella, les céréales ou gâteaux hyper chimiques et sucrés, les fruits et légumes bourrés de pesticides...). Tu parles de la nécessité de proposer des alternatives : il y en a. J'ai par exemple expliqué qu'on trouvait dans les magasins bio des pâtes à tartiner sans huile de palme dont tout le processus de récolte du cacao puis de transformation était plus éthique et respectueux de l'environnement comme des humain.e.s. Après, ça coûte plus cher, c'est vrai... Il faut donc faire des choix. Il n'existe aucune solution parfaite, je le sais bien.
Tu parles de l'impossibilité qu'il y a à fonder un magazine disponible sur un support n'ayant aucun coût social ni environnemental, reposant sur un système économique à la fois viable, durable, stable, et suffisamment performant pour pouvoir embaucher des gens tout en leur garantissant une sécurité de l'emploi. Tu as raison, et je sais bien que ta remarque n'est pas un troll ! Je trouve ta réflexion hyper intéressante d'ailleurs

Je ne suis pas parfaite non plus : je ne mange plus de viande ni de poisson et je compte me mettre au lait végétal, mais je consomme encore du beurre et du fromage (et ça je ne veux pas y renoncer...). Je refuse d'acheter des produits Apple parce que ce n'est qu'une immense arnaque à mes yeux (des ordinateurs allant de presque 1 000 à 3 000 € pour le dernier MacBook Pro ! Des iPhones à 700, 800 € !), mais j'ai quand même un ordinateur et un téléphone portables dont les écrans contiennent des éléments toxiques et polluants, dont les batteries contiennent du lithium qu'on ramasse dans des mines au Zimbabwe, au Chili, en Argentine ! Je vais faire mes courses avec un grand sac à dos Decathlon sans doute fabriqué au Pakistan ou au Bangladesh ; je possède une paire de Nike et une de Vans ; je vais en cours avec un sac à dos Eastpack ; la grande majorité des livres que j'achète ne sont pas faits avec du papier recyclé ; j'emprunte le train, l'avion ou la voiture pour voyager ; j'achète du tabac à rouler dont les marques doivent être possédées par Philip Morris ; je possède des vêtements achetés à H&M et consorts parce que je n'ai pas les moyens d'acheter des vêtements produits équitablement avec des tissus issus de l'agriculture biologique... La liste est longue !

Rien ne pourra jamais être parfait ; en revanche, ça peut quand même être mieux. J'essaye de tendre vers ce mieux.

"Au passage, l'appel au boycott, c'est une arme de riches. Pour boycotter un produit, il faut avoir au départ les moyens de se l'acheter."
Je n'avais jamais envisagé le boycott ainsi, ton argument est intéressant. Mais ça dépend de ce que tu boycottes...
"Mon combat, je le mène plutôt POUR l'accès à une société plus juste et plus égalitaire, pas CONTRE celles et ceux qui financent (pas toujours par choix !) le monde que je veux changer... Ce n'est pas un reproche : je t'explique juste en quoi, tout en étant d'accord avec toi sur le fond, je suis en désaccord sur la forme, et donc sur les moyens à mettre en œuvre pour arriver aux mêmes fins."
Pas de souci, je n'ai pas interprété ton propos comme étant un reproche

- Le boycott est une arme de riche : ok, oui, un peu. Lorsqu'il s'agit de l'habillement par exemple : très peu de personnes peuvent se permettre de boycotter H&M, Promod, Jennyfer, Zara (qui est, au passage, une marque vendant ses vêtements bien plus cher alors qu'ils sont issus des mêmes usines de fabrication textile en Turquie, au Bangladesh, en Pologne...) pour leur préférer des marques éthiques. Les t-shirts en coton bio cultivé, récolté puis fabriqués en Europe vendus 58 € pièce, c'est carrément hors de la portée de beaucoup d'entre nous !

- Tu mènes ton combat pour l'accès à une société plus juste et plus égalitaire, pas contre celleux qui financent le monde que tu veux changer : je suis d'accord, tu as carrément raison. Ce combat doit être mené au niveau politique, juridique, financier... et n'aboutira jamais vraiment à mon avis. Mais ce n'est pas une raison pour ne pas se battre du tout !
C'est juste qu'à mon niveau, qu'est-ce que je peux faire : m'engager, militer, manifester, signer des pétitions contre la toute-puissances des entreprises par exemple. Ça ne change pas le monde mais ça me fait du bien.
Je peux aussi changer certaines habitudes de vie Ok, arrêter d'acheter du Nutella ou d'aller faire nos courses à Casino ne va pas nous mener à une société plus juste et plus égalitaire. J'ai cessé de financer ces réseaux-là mais c'est avant tout pour ma tranquillité de conscience, et je continue malgré tout à en financer d'autres : Decathlon et H&M pour les fringues, EDF pour mon électricité, Facebook, Google, Youtube, etc. !
Mais le simple fait de dénoncer les pratiques de toutes ces sociétés est important. C'était aussi ce que je voulais souligner lorsque je critiquais l'absence de mention des pratiques de Ferrero. Ne serait-ce qu'informer les gens sur les produits qu'ils achètent, c'est déjà faire quelque chose

Et surtout, on peut faire mieux ! Arrêter d'aller à Casino = inutile en soi. Mais aller à Biocoop (par exemple) (ça peut aussi être : aller chez un.e producteur.trice local.e, aller au marché...) et acheter des produits bio, produits localement pour la plupart = avoir un impact positif. Certaines marques bio comme "Danival", "Lima", "Bonneterre"... sont louches (liées, de par leurs actionnaires, à des sociétés comme Monsanto) (donc là encore, rien n'est parfait).
En revanche, d'autres, comme les produits labelisés "Bio Cohérence" ou "Demeter", correspondent à des réseaux, entreprises, qui respectent, dans leurs pratiques, l'environnement, les animaux et les humain.e.s ayant participé à leur élaboration. En finançant tous ces réseaux de production, on consomme de manière responsable et éthique, on participe au fonctionnement et au renforcement d'un système plus bénéfique à tou.te.s et à tous les niveaux ! Ça pour moi, c'est déjà œuvrer pour la mise en place d'une société plus juste et plus égalitaire.

Encore une fois tout ceci a un coût, ce n'est pas accessible à tou.te.s. Mais ce n'est pas inaccessible non plus... Avant de me lancer là-dedans, je pensais que je ne m'en sortirai jamais financièrement ; mais en fait, si les produits que j'achète me coûtent globalement plus chers, ils sont aussi de meilleure qualité, et surtout j'en achète moins. En devenant végétarienne, j'ai du apprendre à manger autrement, j'ai découvert plein d'aliments et j'ai du apprendre à "écouter" mon corps et mon estomac. J'ai peu à peu réalisé que je mangeais bien moins qu'avant (en terme de quantité) ; qu'en fait, j'avais l'habitude non seulement de manger mal (dans le sens où je me sentais lourde intérieurement, écœurée par tous les trucs trop gras, trop sucrés que j'avais ingurgités), mais aussi de manger trop.

On dirait vraiment que j'essaye de vous endoctriner mais ce n'est pas le cas Je partage simplement mon expérience parce que je veux insister là-dessus : il existe des alternatives, il y a des solutions qui ne sont pas parfaites, mais qui sont quand même mieux ! Le bio par exemple, ça peut vraiment valoir le coût financièrement. Comme je l'ai dit, mon budget nourriture n'a pas augmenté !
[ Par contre, je déconseille les magasins comme La Vie Claire ou Satoriz, qui sont des circuits de vente long, à l'inverse des coopératives qui fonctionnent en circuit court comme les AMAP (genre La Ruche Qui Dit Oui, qu'on trouve dans de nombreuses villes en France) ou les Biocoop (qu'on trouve partout en France, même au fin fond de la campagne ardéchoise :cretin. ]

Je ne peux pas révolutionner tout mon mode de vie, mais je peux changer certaines choses. On peut tou.te.s le faire !

Pour revenir au sujet de départ, Clémence, ce que je critiquais, c'était simplement l'absence d'esprit critique vis-à-vis de certains produits/marques que vous mentionnez ou présentez sur MadmoiZelle. Je ne voulais pas dire "Ordonnez à vos lecteurs.trices d'arrêter de manger du Nutella !". Juste que c'est pas cool, à mes yeux, d'en parler comme si de rien n'était (même si encore, je sais que l'article n'était pas une pub !). Et quand bien même vous n'êtes pas là pour orienter nos choix en tant que consommateurs.trices, il peut être intéressant de partager des infos à propos des produits dont vous parlez

Enfin, dernière info que j'aimerais partager vu que j'ai parlé de Google un peu plus haut : j'ai découvert le moteur de rechercher Ecosia il y a peu. C'est une extension Mozilla Firefox qu'on peut télécharger sur tous nos appareils (gratuitement, bien sûr).
Ecosia, c'est un organisme qui utilise 80% des revenus engendrés par la pub pour financer des projets de reforestation au Pérou, au Burkina Faso et à Madagascar. Il faut savoir que pour chaque projet financé, ils s'associent à des organismes locaux et embauchent des femmes et des hommes habitant déjà dans les environs. Rien qu'à travers nos recherches internet, on peut donc agir pour la planète et pour les humain.e.s ! edo:


Sur ce, je vous souhaite une bonne année à tou.te.s, en espérant qu'elle sera pour vous riche d'expériences et de de découvertes et que vous mènerez vos projets à bien, quels qu'ils soient !
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