Au revoir là-haut, plongée fantasque dans les années folles

Cinq ans après 9 mois ferme, l’acteur, réalisateur et scénariste Albert Dupontel retourne derrière la caméra avec Au revoir là-haut.

Au revoir là-haut, fantastique virée dans les années 30

Comment se faire un peu de sous en 1919, hein ? La guerre a fait rage, les Français ont du mal à lier les deux bouts…

Édouard Péricourt, fils homosexuel rejeté par un père bourgeois, est un artiste argent. À ses côtés, Albert Maillard, comptable de milieu modeste, peine à survivre dans cette période d’après-guerre.

Les deux vétérans vont mettre leurs talents en commun pour monter une belle arnaque aux monuments aux morts, d’une envergure spectaculaire.

Les années folles n’ont jamais été aussi littérales dans cette première bande-annonce remplie de têtes connues, de Laurent Lafitte à Niels Arestrup, Léa Seydoux et bien entendu Albert Dupontel.

Adapté du roman de Pierre Lemaître qui a notamment reçu le prix Goncourt en 2013, Au revoir là-haut s’est distingué par sa précision historique.

L’absurde et l’excès présents dans ces premières images renvoient en tout cas le côté spectaculaire de l’entreprise. Tout ça attise ma curiosité.

Le 25 octobre, cette histoire incroyable arrivera en salles.

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